Voir un numéro

 

Précédent <<<<<<<<>>>>>>>> Suivant

 

Portraits

 

Portraits de femmes dans la peinture - Jeune orpheline au cimetière - Eugène Delacroix


Premier jour : Etienne Théry">Oblitération 1er jour à Paris au Carré d'Encre le jeudi 8 mars 2012
Vente générale : 9 mars 2012
Retrait de la vente : 27 mars 2015
Valeur faciale : 0.60 €€
Validité affranchissement : Lettre prioritaire jusqu'à 20g pour la France, Andorre, Monaco
Mise en page: Etienne Théry

Dentelure : Dentelé 11
Couleur : Quadrichromie
Mode d'impression : Héliogravure

Quantite émis : 3.500.000.
Bande phosphore : 2 bandes
Catalogue Yvert et Tellier Timbres français : N° 681
Catalogue Maury Timbres français : N° 691
Valeur marchande timbre neuf : 1,38 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 0,30 €

 

NOTE : La valeur marchande est le produit des différentes cotes sur lesquelles est appliqué un coefficient réducteur de 70% (ce qui représente la valeur réelle du timbre en cas de vente)

 



Timbres présentants : Les Peintres, sclupteurs, architectes, tableaux, vitraux

 


Eugène Delacroix

est un peintre français né en 1798 à Charenton-Saint-Maurice et mort en 1863 à Paris. Dans la peinture française du XIXe siècle, il est considéré comme le principal représentant du romantisme, dont la vigueur correspond à l'étendue de sa carrière. À quarante ans, sa réputation est suffisamment établie pour recevoir d'importantes commandes de l'État. Il peint sur toile et décore les murs et plafonds de monuments publics. Il laisse en outre des gravures et lithographies, plusieurs articles écrits pour des revues et un Journal publié peu après sa mort et plusieurs fois réédité. Remarqué au Salon en 1824, il produit dans les années suivantes des oeuvres s'inspirant d'anecdotes historiques ou littéraires aussi bien que d'événements contemporains (La Liberté guidant le peuple) (C'est une partie de ce tableau qui servir de modèle pour les timbres du type «Liberté»
Eugène Delacroix au cour de son apprentissage il fait la connaissance d'artistes talentueux tels que Gericault et Gros. Il fréquente les peintres mais aussi le musée du Louvre ou il copie les grands maîtres qu'il admire : Rubens, Velasquez, avec qui il partage l'aspiration à la tradition et au classicisme, et de l'autre, l'introspection et le besoin de chercher derrière les apparences et le réel. Ce conflit l'habitera toute sa vie, sans jamais le résoudre, cela sera la source de ses oeuvres les plus modernes, et les plus significatives de par leur énergie libératrice et leur couleur.