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Salon

 

Oblitération 1er jour à Paris au carré d'Encre et à Sorgues (Vaucluse) du 6 au 8 avril 2018
Cachet premier jour créé par : Claude Perchat

Salon philatélique de printemps - Sorgues


Premier jour : Claude Perchat">Oblitération 1er jour à Paris au carré d'Encre et à Sorgues (Vaucluse) du 6 au 8 avril 2018
Vente générale : 9 avril 2018
Retrait de la vente : 31 janvier 2019
Valeur faciale : 0.95 €€
Validité affranchissement : Lettre Prioritaire 20g
Graveur : Sophie Beaujard

création : Sophie Beaujard

Département concerné par ce timbre : 84
Dentelure : Dentelé 13 x 12¼
Couleur : polychromie
Mode d'impression : Taille douce

Quantite émis : 800.000.
Bande phosphore : 2 bandes
Catalogue Yvert et Tellier Timbres français : N° 5210
Valeur marchande timbre neuf : 0,90 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 0,36 €

 

NOTE : La valeur marchande est le produit des différentes cotes sur lesquelles est appliqué un coefficient réducteur de 70% (ce qui représente la valeur réelle du timbre en cas de vente)

 



Timbres présentants : Villes, places, rues

 


Informations sur le visuel
Le timbre représente au centre l'Hôtel de ville érigé au XIXe siècle, les roues à aubes rappellent toute l'importance de l'eau dans le développement industriel de Sorgues et enfin le pont des arméniers, inscrit aux monuments historiques depuis 2001.

 

Le blason de la ville de Sorgues (Vaucluse)

comporte un pont à trois arches sur une rivière ondée… En effet, la cité doit son développement à l'eau abondante de la précieuse Sorgue, qui prend sa source à Fontaine de Vaucluse. Le canal du Vaucluse, creusé vers l'an 900, a permis d'irriguer des terres agricoles et d'alimenter les fontaines de la ville. Dès le XIIIe siècle, la force motrice des eaux de la Sorgue fait tourner moulins à blé, papeteries, filatures. Au XIXe siècle, profitant des canaux dérivés qui traversent la ville, les roues à aubes font tourner de nombreuses manufactures : minoteries, filatures de soie, fabrique de pierres à aiguiser… Sorgues s'industrialise et à partir de 1820, la municipalité lance de grands travaux, comme un nouvel hôtel de ville de style néo-classique en 1859, dont la façade arbore en son centre trois arches, allusion au premier pont érigé vers 1063, qui enjambait la Sorgue et donna son nom à la ville… C'est un autre pont reliant les exploitations agricoles de l'île de l'Oiselet à Sorgues qui voit le jour en septembre 1926. Construit sous la pression des habitants pour remplacer les bacs soumis aux caprices du Rhône et faciliter le commerce local, le pont des Arméniers constitue une véritable prouesse technique pour l'époque.
Source communiqué de presse de la Poste