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FrançoiseFrançoise Pétrovitch animera une séance de dédicaces au Carré d'Encre de 10h30 à 12h30 le vendredi 9 septembre 2022

D'après une œuvre originale de Françoise Pétrovitch, spécialement créée pour ce timbre

 

Françoise Pétrovitch


Premier jour : Françoise Pétrovitch">Oblitération 1er jour au carré d'Encre 3 bis rue des Mathurins, 75009 PARIS le 9 et 10 septembre 2022
Vente générale : 12 septembre 2022
Dédicace : Françoise Pétrovitch animera une séance de dédicaces au Carré d'Encre de 10h30 à 12h30 le vendredi 9 septembre 2022
Valeur faciale : 20.88 €€
Validité affranchissement : Lettre verte 100g pour la France, Andorre et Monaco
création : Françoise Pétrovitch
Dentelure : 13 x 13¼
Couleur : nuance sur fond bleu
Mode d'impression : Offset

Quantite émis : 50.000.

 



Timbres présentants : Les Peintres, sclupteurs, architectes, tableaux, vitraux

 


Françoise Pétrovitch

élabore un univers de personnages, d’enfants et adolescents, travaillés au lavis et à la peinture à l’huile. Il s’agit pour elle d’évoquer l’intimité, quel que soit le format du dessin ou de la peinture
Le monde de Françoise Pétrovitch est intime, ambigu, inquiétant parfois. Il est traversé d’imaginaires qui se répètent comme des obsessions, des animaux, des enfants, des personnages de contes, Peau d’âne, l’ogre, saint Sébastien. L’artiste invoque les « motifs-traits » qu’elle utilise pour naviguer entre l’intériorité et l’extériorité : les mains, les yeux fermés (ou masqués ou baissés), les figures étendues au sol, qui, elles aussi, reviennent et s’enchaînent jusqu’à la (con)fusion : de l’humain à l’animal, de l’enfance à l’âge adulte, de la présence à l’absence. Dans les dédoublements qui s’accomplissent, on sent l’écho de l’être qui glisse, sa fluidité. On sent aussi le dialogue que Françoise Pétrovitch entretient avec ceux qui, comme elle, ont ressenti l’urgence d’exprimer le monde, des peintres de la préhistoire à Nancy Spero, de Matisse à Marguerite Duras, des maîtres de la nature morte à Louise Bourgeois. Quant aux histoires déployées dans son travail, elles ne se referment jamais, elles s’ouvrent au contraire, elles laissent pénétrer les rêves, les fragments, les apparitions et les disparitions. On est toujours au bord d’un précipice, dans un monde où les femmes, la nature, l’enfance, le fragile, tout est soumis à la violence qui passe comme un grand vent.
Source Wikipédia et © La Poste - Antoine Vigne