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Anne

 

Oblitération 1er jour à Paris au Carré d'Encre, Nantes, Blois, Qimper, et Rennes le 11 et 12 janvier 2014
Cachet premier jour créé par : Claude Perchat

Anne de Bretagne (1477-1514)


Premier jour : Claude Perchat">Oblitération 1er jour à Paris au Carré d'Encre, Nantes, Blois, Qimper, et Rennes le 11 et 12 janvier 2014
Vente générale : 13 janvier 2014
Retrait de la vente : 31-octobre 2014
Valeur faciale : 0.66 €€
Graveur : Yves Beaujard

Département concerné par ce timbre : 44
Dentelure : Dentelé 13 x 13¼
Couleur : Multicolore
Mode d'impression : Taille douce

Quantite émis : 1.500.000
Bande phosphore : 2 bandes
Catalogue Yvert et Tellier Timbres français : N° 4834
Catalogue Maury Timbres français : N° 4781
Valeur marchande timbre neuf : 1,17 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 0,33 €

 

NOTE : La valeur marchande est le produit des différentes cotes sur lesquelles est appliqué un coefficient réducteur de 70% (ce qui représente la valeur réelle du timbre en cas de vente)

 



Timbres présentants : les Hommes politiques, militaires, rois, marchants

 


Anne de Bretagne

née le 25 janvier 1477 à Nantes et morte le 9 janvier 1514 (à 36 ans) à Blois, est duchesse de Bretagne et comtesse de Montfort (1488-1514) et d'Étampes (1512-1514) et, par ses mariages, archiduchesse d'Autriche, reine de Germanie (1490-1491), puis de France (1491-1498), puis de nouveau reine de France (1499-1514) et reine de Naples (1501-1503) et duchesse de Milan (1499-1500) et (1500-1512).
Elle était la fille de François II (1435-1488), duc de Bretagne, et de sa seconde épouse Marguerite de Foix (v. 1449-1486), princesse de Navarre.
Elle est un enjeu central dans les luttes d'influence qui aboutiront après sa mort à l'union de la Bretagne à la France.
De l'éducation d'Anne de Bretagne, on conserve peu de traces. D'intelligence moyenne, il est probable qu'elle reçoit l'éducation d'une jeune noble de son temps : elle apprend à lire et à écrire en français, peut-être un peu de latin. Contrairement à ce que l'on retrouve parfois, il est peu probable qu'elle ait appris le grec ou l'hébreu et n'a jamais parlé ni compris le breton, langue à laquelle les milieux nantais où elle évolue sont étrangers. Elle est élevée par une gouvernante : Françoise de Dinan, comtesse consort de Laval. Elle a plusieurs précepteurs, tel son maître d'hôtel, le poète de cour Jean Meschinot (de 1488 à la mort de celui-ci en 1491), qui, lors des loisirs d'Anne, va chasser au faucon avec elle. On lui aurait peut-être enseigné la danse, le chant et la musique