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Les

 

Oblitération 1er jour à Paris au Carré d'Encre, St Denis, Mérignac, Maillebois, Bouy et Champagné le 15 et 16 octobre 2010
Cachet premier jour créé par : James Prunier

Les pionniers de l'aviation - Jules Védrines (1881-1919)


Premier jour : James Prunier">Oblitération 1er jour à Paris au Carré d'Encre, St Denis, Mérignac, Maillebois, Bouy et Champagné le 15 et 16 octobre 2010
Vente générale : 18 octobre 2010
Retrait de la vente : 29 juillet 2011
Valeur faciale : 0.58 €€
Dessinateur : Atelier Didier Thimonier
Département concerné par ce timbre : 93
Dentelure : Dentelé
Couleur : Multicolore
Mode d'impression : Héliogravure

Quantite émis : 1.800.000
Bande phosphore : 2 bandes
Catalogue Yvert et Tellier Timbres français : N° 4508
Catalogue Maury Timbres français : N° 4426
Valeur marchande timbre neuf : 1,35 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 0,93 €

 

NOTE : La valeur marchande est le produit des différentes cotes sur lesquelles est appliqué un coefficient réducteur de 70% (ce qui représente la valeur réelle du timbre en cas de vente)

 



Timbres présentants : Les Avions, bateaux, trains, voitures, motos, vélos

 


Jules Charles Toussaint Védrines

né à la Plaine Saint-Denis le 21 décembre 1881 et mort le 21 avril 1919, est un aviateur français.
Jules Védrines fut d'abord un ouvrier, puis un metteur au point aux Usines Gnôme (Moteur), avant de devenir mécanicien du pilote-acteur anglais, Robert Loraine. Cette expérience lui donne le désir de devenir aviateur. Il passe son brevet de pilote le 7 décembre 1910 à Pau.
Le 11 mars 1911, il effectue à bord d'un Morane-Borel le vol Toulouse-Carcassonne et devient ainsi le première aviateur de l'Aude
Le 13 janvier 1912, il bat le record de vitesse pure en avion : sur un « Déperdussin », il atteint la vitesse de 145,161 km/h.
Pendant la Première Guerre mondiale, il est mobilisé dans l'aviation. Il signe ses avions d'une tête de vache ou de l'inscription « la vache », sans doute en souvenir de ses origines limousines et aussi peut-être en guise de provocation. Il se spécialise dans des missions difficile
Après la Première Guerre mondiale, il est décoré pour ses talents d'instructeur.
Il meurt à Saint-Rambert-d'Albon le 21 avril 1919, avec son mécanicien Guillain, lors de l'inauguration de la ligne Paris-Rome, à bord d'un bimoteur Caudron C-23 rempli de 1 600 litres d'essence. Il est enterré au cimetière parisien de Pantin après des funérailles grandioses.
Source WIKIPEDIA